Courriers au maire laissés sans réponse !!

Auteurs : Bien Vivre à Villabé

Publié le : 24/01/2023

Dans le midi, on dit « tout dans la tchatche … »

Lorsque les conseillers municipaux de Bien vivre à Villabé adressent un courrier au maire, il a un mois pour répondre, dixit le règlement du Conseil municipal qu’il a fait voter avec l’équipe majoritaire. Et ne pas satisfaire au règlement intérieur, c'est une faute.

Mais voilà, les dernières questions restent en suspens, sans réponse et ce n’est pas faute de le relancer en mettant systématiquement en copie le directeur général des services :

-  le 14 novembre, il est demandé quels travaux restent-ils à faire pour être en conformité avec la mise en accessibilité des locaux pour les personnes à mobilité réduite. Le maire de Villabé avait 6 ans à compter du 18 janvier 2017 pour réaliser ces travaux dans le cadre de l’Agenda d’accessibilité programmée validée par le préfet sous peine de sanctions.

Cette question n’est pas anodine car elle parle du bien vivre des personnes à mobilité réduite et de l’enveloppe budgétaire qu’il reste à prévoir …

-  le 22 novembre, il est proposé au maire d’envisager une « autorisation » de la mairie pour la vente des calendriers des corporations qui font du porte à porte en fin d’année.

-  le 30 novembre, il est demandé que soient confirmés les montants que notre commune doit rembourser à ERILIA au titre d’un montant perçu indûment de la taxe d’aménagement ainsi que la communication des sommes perçues initialement : cela concerne l’île de la papèterie Darblay et le site du chemin vert qui a vu son permis de construire annulé par le tribunal administratif.

D’ailleurs, y-aurait-il un lien avec les actions en justice portées par le maire contre cette annulation et cette taxe d’aménagement perçue avant même la fin des procédures de recours ?

Question transparence des décisions à Villabé, la marge de progrès est importante et question respect des règles n’en parlons pas….

Il est vrai qu’il a, sûrement, d’autres priorités comme l’organisation de ses vœux ou encore envisager un petit déjeuner avec « les forces de sécurité de l’état » ou encore, peut-être, se préoccuper des gens du voyage à nouveau installés sur le parking de la zone commerciale ?

Alors, avec constance et ténacité, nous continuerons à le relancer jusqu’à ce que réponses nous soient données.

Affaire à suivre !